Que se passe-t-il à la fin de mon arrêt maladie ?

Lorsque votre arrêt maladie prend fin, votre reprise du travail peut être conditionnée à une visite médicale. Cela dépend de la durée de votre arrêt (moins de 30 jours, entre 30 jours et 3 mois, plus de 3 mois).
Cette éventuelle visite médicale s’effectue auprès du médecin du travail qui pourra préconiser des conditions de reprise.

Aucune visite médicale n’est nécessaire. Vous reprenez donc votre travail dans les conditions habituelles.
En fonction de votre état de santé, votre médecin traitant peut préconiser une reprise du travail à temps partiel pour motif thérapeutique :
- Le maintien au travail, la reprise du travail et le travail effectué sont reconnus par un médecin comme étant de nature à favoriser l’amélioration de votre état de santé ;
- Vous devez faire l’objet d’une rééducation ou d’une réadaptation professionnelle pour retrouver un emploi compatible avec votre état de santé.
Vous devez alors adressé la prescription de mi-temps thérapeutique à la CPAM (feuillet 1 et 2) et votre employeur (feuillet 3). Ce dernier donne son accord de principe, après avis favorable de la médecine du travail. Vous devez respecter les préconisations émises par votre médecin traitant.
La répartition des heures de travail et la rémunération doivent faire l’objet d’un accord entre vous et votre employeur.
L’assurance maladie peut vous verser des indemnités journalières sur avis favorable du médecin conseil de la CPAM. Le mode de calcul est identique à celui en cas d’arrêt de travail.
Vous devez passer une visite de reprise auprès de la médecine du travail, dans les 8 jours qui suivent votre retour à l’emploi. Cette visite est obligatoire et se déroule pendant les heures de travail. A défaut, votre employeur rémunère le temps nécessaire aux examens médicaux. C’est à la date de visite que prend fin la suspension du contrat de travail.
Au cours de cette visite, il revient au médecin du travail de :
- Vérifier si votre poste est compatible avec votre état de santé ;
- Examiner les propositions d’aménagement ou d’adaptation du poste. Eventuellement, les propositions de reclassement émises par votre employeur. Ces propositions doivent suivre l’avis du médecin du travail ;
- Préconiser l’aménagement ou l’adaptation de votre poste. Eventuellement, votre reclassement ;
- Émettre un avis d’inaptitude, le cas échéant.
Sauf reclassement, vous reprenez l’emploi que vous occupiez avant votre arrêt maladie. Si celui-ci n’est plus disponible, votre employeur doit vous proposer un emploi similaire avec une rémunération égale.
En fonction de votre état de santé, votre médecin traitant peut préconiser une reprise du travail à temps partiel pour motif thérapeutique :
- Le maintien au travail, la reprise du travail et le travail effectué sont reconnus par un médecin comme étant de nature à favoriser l’amélioration de votre état de santé
- Vous devez faire l’objet d’une rééducation ou d’une réadaptation professionnelle pour retrouver un emploi compatible avec votre état de santé
Vous devez alors adresser la prescription de mi-temps thérapeutique à la CPAM (feuillet 1 et 2) et votre employeur (feuillet 3). Ce dernier donne son accord de principe, après avis favorable de la médecine du travail. Vous devez respecter les préconisations émises par votre médecin traitant.
La répartition des heures de travail et la rémunération doivent faire l’objet d’un accord entre vous et votre employeur.
L’Assurance maladie peut vous verser des indemnités journalières sur avis favorable du médecin conseil de la CPAM. Le mode de calcul est identique à celui en cas d’arrêt de travail.
Une visite de pré-reprise est nécessaire lorsque vous avez été arrêté plus de 3 mois. Cette visite s’effectue avant la fin de votre arrêt. Elle est organisée à l’initiative de votre médecin traitant, du médecin conseil de la Sécurité sociale ou à votre initiative.
Le médecin du travail peut :
- Recommander des aménagements ou adaptation du poste de travail ;
- Préconiser un reclassement ;
- Conseiller une formation professionnelle pour un reclassement ou une réorientation professionnelle.
Vous devez ensuite passer une visite de reprise, dans les 8 jours qui suivent votre retour à l’emploi. Cette visite est obligatoire et se déroule pendant les heures de travail. A défaut, votre employeur rémunère le temps nécessaire aux examens médicaux. C’est à la date de la visite de reprise que prend fin la suspension du contrat de travail.
Au cours de cette visite, il revient au médecin du travail de :
- Vérifier si votre poste est compatible avec votre état de santé ;
- Examiner les propositions d’aménagement ou d’adaptation du poste. Eventuellement, les propositions de reclassement émises par votre employeur. Ces propositions doivent suivre l’avis du médecin du travail ;
- Préconiser l’aménagement ou l’adaptation de votre poste. Eventuellement, votre reclassement ;
- Émettre un avis d’inaptitude, le cas échéant.
Sauf reclassement, vous reprenez l’emploi que vous occupiez avant votre arrêt maladie. Si celui-ci n’est plus disponible, votre employeur doit vous proposer un emploi similaire avec une rémunération égale.
En fonction de votre état de santé, votre médecin traitant peut préconiser une reprise du travail à temps partiel pour motif thérapeutique :
- Le maintien au travail, la reprise du travail et le travail effectué sont reconnus par un médecin comme étant de nature à favoriser l’amélioration de votre état de santé ;
- Vous devez faire l’objet d’une rééducation ou d’une réadaptation professionnelle pour retrouver un emploi compatible avec votre état de santé.
Vous devez alors adresser la prescription de mi-temps thérapeutique à la CPAM (feuillet 1 et 2) et votre employeur (feuillet 3). Ce dernier donne son accord de principe, après avis favorable de la médecine du travail. Vous devez respecter les préconisations émises par votre médecin traitant.
La répartition des heures de travail et la rémunération doivent faire l’objet d’un accord entre vous et votre employeur.
L’Assurance maladie peut vous verser des indemnités journalières sur avis favorable du médecin conseil de la CPAM. Le mode de calcul est identique à celui en cas d’arrêt de travail.